Notre objectif :
réunir
150 000 €
d’ici le 31 décembre pour soutenir les programmes de recherche les plus prometteurs
62 684 €
collectés
au 02 octobre
87 316 €
restant
à collecter
Professeur Vergès au laboratoire INSERM de Dijon
Les projets financés cette année,
grâce au soutien de nos donateurs
Impact de la metformine sur les calcifications artérielles périphériques et coronaires dans lediabète de type 1
Vérapamil aux stades précliniques du diabète de type 1 : l’étude VIP-1
Allocation de
3 ans : 300 000 €
Dr Alfonso Galderisi – Hôpital Robert Debré,
Université Paris Cité
Le diabète de type 1 (DT1) est une maladie chronique où le système immunitaire détruit progressivement les cellules bêta du pancréas, qui produisent l’insuline.
Cela entraîne une augmentation de la glycémie, nécessitant un traitement par insuline à vie. La maladie évolue en trois stades : présence d’autoanticorps contre les cellules bêta (stade 1), augmentation modérée de la glycémie (stade 2) et diabète clinique (stade 3).
Un objectif important de la recherche est de détecter les patients aux stades précoces pour intervenir avant l’apparition des symptômes. Bien que des traitements immunitaires existent, peu visent à protéger directement les cellules bêta. Le Vérapamil, un médicament antihypertenseur, a montré un effet protecteur contre la mort des cellules bêta chez les patients récemment diagnostiqués. L’étude VIP-1 comparera l’effet d’un an de Vérapamil à celui d’un placebo sur la santé des cellules bêta, espérant retarder le recours à l’insuline et ralentir la progression du diabète.
Glycation des apolipoprotéines dans le diabète et impact sur les maladies cardiovasculaires
Caractériser la dysfonction du tissu adipeux associée à l’obésité dans le diabète de type 1 : vers une meilleure prédiction du risque cardiovasculaire
Allocation de
3 ans : 300 000 €
Dr Pierre Gourdy – Institut des Maladies Métaboliques
et Cardiovasculaires, Inserm, CHU de Toulouse
Le diabète de type 1 (DT1) est de plus en plus fréquemment associé à un surpoids ou à une obésité, situation qui majore le risque de développer des complications, en particulier sur le plan cardiovasculaire. Lié à une distribution excessive et anormale de la masse grasse, le dysfonctionnement du tissu adipeux joue probablement un rôle essentiel dans cet excès de risque cardiovasculaire. Cependant, cette hypothèse reste à démontrer dans le contexte spécifique du DT1.
Ce projet vise à identifier, chez des individus atteints de DT1 et d’obésité, les mécanismes responsables du dysfonctionnement du tissu adipeux ainsi que leurs relations avec le pronostic cardiovasculaire.
Les résultats issus de cette démarche de recherche translationnelle permettront de proposer de nouvelles stratégies pour améliorer la prédiction des complications cardiovasculaires associées au DT1 et pour optimiser leur prévention.
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Une sélection scientifique et rigoureuse des projets de recherche
C’est la Fondation Francophone pour la Recherche sur le Diabète (FFRD), créée en 2013 à l’initiative de la Société Francophone du Diabète (SFD) avec le soutien de la Fédération Française des Diabétiques, qui sélectionne les projets qui sont financés.
La Fédération Française des Diabétiques reverse chaque année 150 000 € à la FFRD soutenue par ailleurs par d’autres partenaires. Plus de 80 % des fonds versés par la Fédération financent les projets de recherche, moins de 20 % des fonds étant destinés aux frais de fonctionnement de la FFRD.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site de la Fondation
Depuis 2013
11
projets de recherche
fondamentale financés
14
projets de recherche
clinique financés
6
projets de recherche
translationnelle financés
8,3
millions d’euros alloués
à la recherche
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